A l’attention particulière de nos élus municipaux.
C’était un petit jardin, désigné « la parcelle 201 ».
Il sentait bon, Montreuil et ses recoins.
Au fond d’une cour du quartier des Ruffins…
J’arrête là mon adaptation de Jacques Dutronc, mais c’est bien la même histoire…
Alors, revient la supplique :
« De grâce! De grâce! Ne touchez pas cette grâce…
De grâce! De grâce! Monsieur le promoteur ne touchez pas mes fleurs »
De grâce! Mesdames Messieurs nos élus prenez vos responsabilités et mettez en cohérence paroles et actes ! Sauvez cette grâce avant qu’il ne soit trop tard !
Je ne souhaite pas argumenter en quoi ce qui se passe est une aberration, les évidences nous frappent ! c’est le patrimoine écologique, historique de Montreuil qui est touché, là où il est singulier.
De grâce! Mesdames Messieurs nos élus, arrêtez de suite cet acte insensé!
Benoît H.
